On me demande parfois comment je travaille, quelles techniques j’emploie ou comment j’en suis venu à l’ostéopathie. Voici quelques éléments de réponse.
Un parcours professionnel peut évoluer…
L’histoire commence en 2008, dès l’obtention de mon diplôme de masseur kinésithérapeute.
Parallèlement à mon activité en tant qu’associé au sein du cabinet de kinésithérapie de Ferrette, j’ai cherché à satisfaire ma curiosité en approfondissant mes compétences, par le biais de formations, de lectures et de recherches personnelles. Après la microkinésithérapie, l’ostéopathie s’est vite avérée être une évidence pour moi.
Pendant ma formation d’ostéopathe, j’ai eu la chance pratiquer les techniques apprises sur mes patients venant en kinésithérapie. Je les en remercie, d’ailleurs, car disposer d’une « matière première » pour s’exercer est très bénéfique. La pratique sur un patient avec des douleurs et des faiblesses est différente de celle sur un binôme étudiant l’ostéopathie…
Depuis 2015, année d’obtention de mon diplôme, je dispense des séances d’ostéopathie complètes au cabinet.
Pourquoi avoir privilégié l’ostéopathie par rapport à la kinésithérapie ?
Notons tout d’abord que les deux techniques sont différentes mais complémentaires. Elles ne sont pas à opposer, comme certains ont tendance à le faire.
Je ne renie pas la kiné, bien au contraire. Un aspect de mon travail d’avant me manque d’ailleurs vraiment : le massage, que j’essaie d’inclure de temps en temps en fin de séance d’ostéopathie, suivant le cas, ou alors par le biais de séances exclusives à la demande.
En ostéopathie, il existe plusieurs types de techniques, que je me dispense de détailler de façon exhaustive.
Elles peuvent être plus ou moins douces, douloureuses ou non, nécessiter ou pas la participation du patient, et produire occasionnellement des petits bruits. Crac !
« Lesquelles employez-vous ? me demanderez-vous.
— Toutes et aucune à la fois.
— Drôle de réponse !
— Pas tant que ça. »
La relation thérapeutique est, comme toute relation, un échange verbal ou non entre deux êtres. Vous ne me direz pas le contraire : vous n’entretenez pas la même relation avec tout le monde.
Pour moi, les soins, c’est la même chose : tout est une question d’adaptation et, je l’avoue, de feeling. Il y a certains critères plus objectifs, d’autres plus subjectifs ou moins rationnels, qui m’incitent à employer un type de technique plutôt qu’un autre pendant la séance. On ne peut pas mettre les personnes dans des cases toutes faites. La réalité est un peu plus complexe.
Donc, que vous soyez « crac-ophile » (amateur de « cracs ! ») ou plutôt « crac-ophobe », ou que vous recherchiez une autre façon d’être soigné(e), parce que chacun est différent, j’essaierai de m’adapter au mieux.
Pour moi, le patient ne se limite pas qu’au physique palpable ; je tiens aussi compte de son vécu, de son âme et de ses émotions.
En conclusion, mon travail est plus qu’un gagne-pain. C’est aussi et surtout une source d’épanouissement. J’ai choisi de me consacrer à l’ostéopathie parce que c’est elle qui m’apporte actuellement le plus de satisfaction et qui correspond le mieux à mes envies, entre autres un travail manuel actif sur le patient, la vision du patient dans sa globalité et la liberté de lui consacrer le temps nécessaire.
Un parcours professionnel peut évoluer…
L’histoire commence en 2008, dès l’obtention de mon diplôme de masseur kinésithérapeute.
Parallèlement à mon activité en tant qu’associé au sein du cabinet de kinésithérapie de Ferrette, j’ai cherché à satisfaire ma curiosité en approfondissant mes compétences, par le biais de formations, de lectures et de recherches personnelles. Après la microkinésithérapie, l’ostéopathie s’est vite avérée être une évidence pour moi.
Pendant ma formation d’ostéopathe, j’ai eu la chance pratiquer les techniques apprises sur mes patients venant en kinésithérapie. Je les en remercie, d’ailleurs, car disposer d’une « matière première » pour s’exercer est très bénéfique. La pratique sur un patient avec des douleurs et des faiblesses est différente de celle sur un binôme étudiant l’ostéopathie…
Depuis 2015, année d’obtention de mon diplôme, je dispense des séances d’ostéopathie complètes au cabinet.
Pourquoi avoir privilégié l’ostéopathie par rapport à la kinésithérapie ?
Notons tout d’abord que les deux techniques sont différentes mais complémentaires. Elles ne sont pas à opposer, comme certains ont tendance à le faire.
Je ne renie pas la kiné, bien au contraire. Un aspect de mon travail d’avant me manque d’ailleurs vraiment : le massage, que j’essaie d’inclure de temps en temps en fin de séance d’ostéopathie, suivant le cas, ou alors par le biais de séances exclusives à la demande.
En ostéopathie, il existe plusieurs types de techniques, que je me dispense de détailler de façon exhaustive.
Elles peuvent être plus ou moins douces, douloureuses ou non, nécessiter ou pas la participation du patient, et produire occasionnellement des petits bruits. Crac !
« Lesquelles employez-vous ? me demanderez-vous.
— Toutes et aucune à la fois.
— Drôle de réponse !
— Pas tant que ça. »
La relation thérapeutique est, comme toute relation, un échange verbal ou non entre deux êtres. Vous ne me direz pas le contraire : vous n’entretenez pas la même relation avec tout le monde.
Pour moi, les soins, c’est la même chose : tout est une question d’adaptation et, je l’avoue, de feeling. Il y a certains critères plus objectifs, d’autres plus subjectifs ou moins rationnels, qui m’incitent à employer un type de technique plutôt qu’un autre pendant la séance. On ne peut pas mettre les personnes dans des cases toutes faites. La réalité est un peu plus complexe.
Donc, que vous soyez « crac-ophile » (amateur de « cracs ! ») ou plutôt « crac-ophobe », ou que vous recherchiez une autre façon d’être soigné(e), parce que chacun est différent, j’essaierai de m’adapter au mieux.
Pour moi, le patient ne se limite pas qu’au physique palpable ; je tiens aussi compte de son vécu, de son âme et de ses émotions.
En conclusion, mon travail est plus qu’un gagne-pain. C’est aussi et surtout une source d’épanouissement. J’ai choisi de me consacrer à l’ostéopathie parce que c’est elle qui m’apporte actuellement le plus de satisfaction et qui correspond le mieux à mes envies, entre autres un travail manuel actif sur le patient, la vision du patient dans sa globalité et la liberté de lui consacrer le temps nécessaire.